Essay on books in French. Pls fast !
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Les «livres» sont la réserve de connaissances et de sagesse. Ils contiennent une variété de plaisirs. Lire des livres rend notre esprit fort et élargir nos perspectives. La lecture des livres nous donne un grand plaisir. Ils sont les meilleurs amis de l'homme.
A travers les livres nous arrivons à connaître notre civilisation. A travers les livres, nous entrons en contact avec de grands érudits, des poètes et des philosophes. Les livres ne nous trompent jamais. Ils nous aident à bâtir notre caractère. En lisant des livres, notre tristesse est enlevée. Si nous sommes sur un long voyage, les livres nous donner une bonne compagnie. Tout le monde devrait donc développer l'habitude de lire des livres.
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C'était dans la cuisine, l'argument de mes parents. Il y avait quarante minutes. Il parle de mon frère qui était volé par les soldats hier soir. Les soldats qui m'ont violé sous le toit de ma maison. Les soldats qui au fond de leur cœurs sont vide de morale, de patriotisme, d'amour. Ils ont pris mon désir de vivre. Mais, ils m'ont donné une raison que je trouve plus importante. Alors je sais ce que tu penses. Tu crois que je suis stupide: qu'une enfant, moi- un bébé qui a quinze ans n'a pas une conception de la bravoure. Et je l'ai accepté et je me forcé d'être d’accord- dès que mon ventre s’est mis à grandir. Pour vous et pour ma famille il y a une chimère que je veux démontrer dans cette histoire qui commence avec ma fuite : Je me suis monté à bord avec l'aide du capitaine. C'était un petit bateau assez faible pour les trente corps qui se sont déjà mélangés et assis dans les coins. Je ne connaissais personne, et j'en suis sûr qu'ils ne me connaissaient pas. Néanmoins je sens qu'il me regarde, fixé sur mon bébé. D'une sorte je sens qu'ils arrachent mes tripes et révèlent mes secrets. Je m'assois à côté d'une vieille dame dans le plus grande dénuement. Elle s'appelle "Geneviève Marcoses". Elle est la plus belle femme que je connaisse. Sans la plupart de ses dents probablement à cause des soldats et chauve entièrement, elle me chuchote dans un ton, sérieusement, "Mon dieu, vous êtes enceinte, qui est le père ? ». C’est une chose à dire qu’il y a espoir pour une nouvelle base. Que la claire obscurité de lune me brulerait dans ces rayons et que le soleil en flammes gèlerait le mémoire de cette nuit affreux. Je réponds gravement dès qu’une larme caresse le côté de mon visage, « Le père est Haïti. » Son visage s’est tordu dans une manière qui m’a fait honte des façons impossible de transcrire sur papier. Doucement, elle amenait sa main ver mes joues et m’a regardé en répétant, « Merci, merci. » Dans la confusion totale je ...
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