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Hi,
Your answer:
Il existe encore peu de dispositifs, de structures pour les enfants qui présentent un trouble du langage oral. Le plus souvent, il faut adapter les dispositifs qui existent pour les enfants handicapés ou pour les enfants en situation d’échec scolaire.
Cependant, depuis mars 2001 et la parution du plan d’action en faveur des enfants atteints d’un trouble spécifique du langage, certains dispositifs reconnaissent la situation spécifique des enfants qui présentent un trouble du langage oral, que ce soit en intégration individuelle avec intervention d’un enseignant spécialisé, en CLIS ou en UPI spécifiques troubles du langage et/ou des apprentissages.
La nouvelle loi du 11 février 2005 relative à l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées présente une définition du handicap inspirée de la classification internationale établie par l’Organisation Mondiale de la Santé. Constitue un handicap « toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou de plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant ».
Les troubles sévères du langage entrent donc de fait dans le champ du handicap : le handicap cognitif.
Les enfants dysphasiques, en situation de handicap, sont donc concernés par cette nouvelle loi.
Note d’AAD
Reconnaître officiellement qu’un trouble appartient au domaine du handicap permet de prendre en compte officiellement les besoins d’adaptation des enfants dysphasiques.
L’inscription à l’école
La loi du 11 février 05 (article 10-III) précise que « Tout enfant, tout adolescent présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé est inscrit dans l’école ou dans l’un des établissements le plus proche de son domicile, qui constitue son établissement de référence .
Même s’il est orienté vers un établissement spécialisé à la suite d’une décision de la CDA (Commission des droits et de l’autonomie), il conserve une inscription dans son école ou établissement scolaire de référence.
Lors de la première scolarisation, le plus souvent en école maternelle avant toute évaluation des besoins en situation scolaire et avant toute décision de la CDA « l’élève handicapé est accueilli dans les mêmes conditions que les autres élèves… sous réserve des adaptations nécessaires » pour la poursuite de sa scolarité.
Deux cas peuvent se présenter :
La famille, avant l’inscription à l’école a repéré les difficultés que rencontre leur enfant, et a saisi la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées). Dans ce cas, elle fait part de ses démarches lors de l’inscription avec le directeur de l’école. L’équipe éducative réunie par le directeur de l’école prendra alors les mesures nécessaires pour assurer la scolarisation dans les meilleures conditions et élaborer une ébauche de projet de scolarisation (*) avec l’aide de la MDPH.
Pour connaitre les coordonnées de votre MDPH
Les conseils d’AAD
N’hésitez pas à exposer une liste des difficultés et des points forts de votre enfant à partir de vos observations familiales, de présenter toutes les démarches et contacts avec les professionnels (CAMSP, orthophonistes, centre de diagnostic*…) qu’il vous semble utile de faire connaître . Il est important que l’école et la famille se fassent mutuellement confiance et communiquent efficacement.
AAD peut vous donner des pistes d’aide en ce sens. Contactez son secrétariat.
C’est l’école ou l’établissement scolaire qui a perçu l’éventualité d’un handicap. Si elle le juge nécessaire, elle en informe la famille et notifie par écrit aux parents de saisir la MDPH en vue de l’élaboration d’un projet de scolarisation (PPS) qui prendra en compte les besoins de l’enfant en fonction de ses possibilités.
Conformément au décret relatif au parcours de formation, elle réunit (comme dans le 1er cas) l’équipe éducative*.
Parallèlement le directeur propose à la famille de s’informer auprès d’un enseignant référent des aides qui peuvent être apportées dans le cadre de ce projet.
Good bye ;)
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Il existe encore peu de dispositifs, de structures pour les enfants qui présentent un trouble du langage oral. Le plus souvent, il faut adapter les dispositifs qui existent pour les enfants handicapés ou pour les enfants en situation d’échec scolaire.
Cependant, depuis mars 2001 et la parution du plan d’action en faveur des enfants atteints d’un trouble spécifique du langage, certains dispositifs reconnaissent la situation spécifique des enfants qui présentent un trouble du langage oral, que ce soit en intégration individuelle avec intervention d’un enseignant spécialisé, en CLIS ou en UPI spécifiques troubles du langage et/ou des apprentissages.
La nouvelle loi du 11 février 2005 relative à l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées présente une définition du handicap inspirée de la classification internationale établie par l’Organisation Mondiale de la Santé. Constitue un handicap « toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou de plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant ».
Les troubles sévères du langage entrent donc de fait dans le champ du handicap : le handicap cognitif.
Les enfants dysphasiques, en situation de handicap, sont donc concernés par cette nouvelle loi.
Note d’AAD
Reconnaître officiellement qu’un trouble appartient au domaine du handicap permet de prendre en compte officiellement les besoins d’adaptation des enfants dysphasiques.
L’inscription à l’école
La loi du 11 février 05 (article 10-III) précise que « Tout enfant, tout adolescent présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé est inscrit dans l’école ou dans l’un des établissements le plus proche de son domicile, qui constitue son établissement de référence .
Même s’il est orienté vers un établissement spécialisé à la suite d’une décision de la CDA (Commission des droits et de l’autonomie), il conserve une inscription dans son école ou établissement scolaire de référence.
Lors de la première scolarisation, le plus souvent en école maternelle avant toute évaluation des besoins en situation scolaire et avant toute décision de la CDA « l’élève handicapé est accueilli dans les mêmes conditions que les autres élèves… sous réserve des adaptations nécessaires » pour la poursuite de sa scolarité.
Deux cas peuvent se présenter :
La famille, avant l’inscription à l’école a repéré les difficultés que rencontre leur enfant, et a saisi la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées). Dans ce cas, elle fait part de ses démarches lors de l’inscription avec le directeur de l’école. L’équipe éducative réunie par le directeur de l’école prendra alors les mesures nécessaires pour assurer la scolarisation dans les meilleures conditions et élaborer une ébauche de projet de scolarisation (*) avec l’aide de la MDPH.
Pour connaitre les coordonnées de votre MDPH
Les conseils d’AAD
N’hésitez pas à exposer une liste des difficultés et des points forts de votre enfant à partir de vos observations familiales, de présenter toutes les démarches et contacts avec les professionnels (CAMSP, orthophonistes, centre de diagnostic*…) qu’il vous semble utile de faire connaître . Il est important que l’école et la famille se fassent mutuellement confiance et communiquent efficacement.
AAD peut vous donner des pistes d’aide en ce sens. Contactez son secrétariat.
C’est l’école ou l’établissement scolaire qui a perçu l’éventualité d’un handicap. Si elle le juge nécessaire, elle en informe la famille et notifie par écrit aux parents de saisir la MDPH en vue de l’élaboration d’un projet de scolarisation (PPS) qui prendra en compte les besoins de l’enfant en fonction de ses possibilités.
Conformément au décret relatif au parcours de formation, elle réunit (comme dans le 1er cas) l’équipe éducative*.
Parallèlement le directeur propose à la famille de s’informer auprès d’un enseignant référent des aides qui peuvent être apportées dans le cadre de ce projet.
Good bye ;)
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