Women's rights before and after the french revolution
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. Women had no political rights in pre-Revolutionary France; they were considered "passive" citizens; forced to rely on men to determine what was best for them. That changed dramatically in theory as there seemingly were great advances in feminism. Feminism emerged in Paris as part of a broad demand for social and political reform. The women demanded equality to men and then moved on to a demand for the end of male domination. Their chief vehicle for agitation were pamphlets and women's clubs, especially the Society of Revolutionary Republican Women. However, the Jacobin (radical) element in power abolished all the women's clubs in October 1793 and arrested their leaders. The movement was crushed. Devance explains the decision in terms of the emphasis on masculinity in wartime, Marie Antoinette's bad reputation for feminine interference in state affairs, and traditional male supremacy.[1] A decade later the Napoleonic Code confirmed and perpetuated women's second-class status.[2]
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Hi,
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I. Les femmes durant la seconde guerre mondiale
Avec la seconde guerre mondiale, les femmes subissent l'idéologie du Maréchal Pétain « Travail, Famille, Patrie ». Les droits de la femme s'effacent au profit de la famille. La priorité est donnée à la famille, notamment par la loi Gournot du 29 décembre 1942, aussi appelée « Charte de la Famille ». Par cette loi, la famille légitime est protégée, le mariage encouragé et on prône les familles nombreuses. De part cette idéologie, le divorce est rendu plus difficile et plus lent avec la loi du 2 avril 1941.
Le régime de Vichy véhicule des valeurs conservatrices où une femme qui fume ou encore est court vêtue, est perçue comme une femme de « mauvaise vie ». L'idéal féminin de cette période est la mère au foyer, pilier de la famille, encouragée à faire des enfants. Des prix sont décernés en fonction du nombre d'enfants et en mai 1941, la fête des mères devient nationale.
Au cœur de cette politique nataliste, l'avortement qui est interdit est d'autant plus réprimé. Le 15 février 1942, l'avortement est qualifié de « crime de haute trahison ». Cette répression vis à vis de l'avortement restera longtemps gravée dans les mémoires, si bien qu'aujourd'hui encore et malgré la légalisation de l'avortement, certaines sages-femmes refusent encore de dire si elles ont pratiqué des avortements durant cette période.
L'éducation subit aussi la politique de Vichy, ainsi les instituteurs et institutrices ne reçoivent plus de formation d'ordre général, mais selon leurs sexes afin d'enseigner les travaux manuels et ménagers. Les filles sont formées à la couture, le repassage, le lavage, la cuisine ; tandis que les garçons sont formés aux métiers de forgerons, menuisiers, maçons. La loi du 18 mars 1942 rend obligatoire pour les jeunes filles « l'enseignement ménager familial », une heure par semaine. De plus, le régime encourage les écoles non-mixtes.
Une contradiction apparaît quant à la politique du régime vis à vis du travail des femmes. En effet, s'inscrivant dans cette idéologie de la famille, Vichy promulgue une loi le 11 octobre 1940, qui prévoit que les femmes mariées et de plus de 50 ans soient exclues du service public. De même dans le secteur privé, on incite à la non-embauche.
Cette politique subit un revirement en 1942. La loi est suspendue à cause du STO ( Service de Travail Obligatoire). La France manque de main d'œuvre et les femmes de 18 à 35 ans n'ayant pas d'enfants légitimes sont astreintes au travail obligatoire, pour « l'effort de guerre ». En juin 1944, 44 835 françaises contraintes ou non, travaillent en Allemagne.
Ainsi, les femmes sont « utilisées » au bon vouloir du gouvernement, reléguées dans un premier temps au statut de femmes au foyer, de mères, puis de travailleuses lorsque on a besoin d'elles.
Pour celles qui n'acceptent pas ce statut, c'est la résistance. Cette résistance passe par diverses actions. On observe une résistance à travers le marché noir et les réseaux d'entraide afin de faire vivre la famille en l'absence du père. La participation des femmes dans la résistance a longtemps été occultée, sauf pour quelques grandes figures comme Lucie Aubrac, Danielle Casanova, Bertie Albrecht, Marie-Madeleine Fourcade. Ces femmes distribuent des tracts, font partie de réseaux où elles assurent la logistique, le ravitaillement, les liaisons. Plus rarement, elles portent les armes ou dirigent un groupe. Certaines sont cependant enrôlées et portent les armes . Malgré cette participation leurs rôles respectifs n'est pas clairement défini dans le programme du CNR (Conseil National de la Résistance) en 1943.
Good Bye :)
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I. Les femmes durant la seconde guerre mondiale
Avec la seconde guerre mondiale, les femmes subissent l'idéologie du Maréchal Pétain « Travail, Famille, Patrie ». Les droits de la femme s'effacent au profit de la famille. La priorité est donnée à la famille, notamment par la loi Gournot du 29 décembre 1942, aussi appelée « Charte de la Famille ». Par cette loi, la famille légitime est protégée, le mariage encouragé et on prône les familles nombreuses. De part cette idéologie, le divorce est rendu plus difficile et plus lent avec la loi du 2 avril 1941.
Le régime de Vichy véhicule des valeurs conservatrices où une femme qui fume ou encore est court vêtue, est perçue comme une femme de « mauvaise vie ». L'idéal féminin de cette période est la mère au foyer, pilier de la famille, encouragée à faire des enfants. Des prix sont décernés en fonction du nombre d'enfants et en mai 1941, la fête des mères devient nationale.
Au cœur de cette politique nataliste, l'avortement qui est interdit est d'autant plus réprimé. Le 15 février 1942, l'avortement est qualifié de « crime de haute trahison ». Cette répression vis à vis de l'avortement restera longtemps gravée dans les mémoires, si bien qu'aujourd'hui encore et malgré la légalisation de l'avortement, certaines sages-femmes refusent encore de dire si elles ont pratiqué des avortements durant cette période.
L'éducation subit aussi la politique de Vichy, ainsi les instituteurs et institutrices ne reçoivent plus de formation d'ordre général, mais selon leurs sexes afin d'enseigner les travaux manuels et ménagers. Les filles sont formées à la couture, le repassage, le lavage, la cuisine ; tandis que les garçons sont formés aux métiers de forgerons, menuisiers, maçons. La loi du 18 mars 1942 rend obligatoire pour les jeunes filles « l'enseignement ménager familial », une heure par semaine. De plus, le régime encourage les écoles non-mixtes.
Une contradiction apparaît quant à la politique du régime vis à vis du travail des femmes. En effet, s'inscrivant dans cette idéologie de la famille, Vichy promulgue une loi le 11 octobre 1940, qui prévoit que les femmes mariées et de plus de 50 ans soient exclues du service public. De même dans le secteur privé, on incite à la non-embauche.
Cette politique subit un revirement en 1942. La loi est suspendue à cause du STO ( Service de Travail Obligatoire). La France manque de main d'œuvre et les femmes de 18 à 35 ans n'ayant pas d'enfants légitimes sont astreintes au travail obligatoire, pour « l'effort de guerre ». En juin 1944, 44 835 françaises contraintes ou non, travaillent en Allemagne.
Ainsi, les femmes sont « utilisées » au bon vouloir du gouvernement, reléguées dans un premier temps au statut de femmes au foyer, de mères, puis de travailleuses lorsque on a besoin d'elles.
Pour celles qui n'acceptent pas ce statut, c'est la résistance. Cette résistance passe par diverses actions. On observe une résistance à travers le marché noir et les réseaux d'entraide afin de faire vivre la famille en l'absence du père. La participation des femmes dans la résistance a longtemps été occultée, sauf pour quelques grandes figures comme Lucie Aubrac, Danielle Casanova, Bertie Albrecht, Marie-Madeleine Fourcade. Ces femmes distribuent des tracts, font partie de réseaux où elles assurent la logistique, le ravitaillement, les liaisons. Plus rarement, elles portent les armes ou dirigent un groupe. Certaines sont cependant enrôlées et portent les armes . Malgré cette participation leurs rôles respectifs n'est pas clairement défini dans le programme du CNR (Conseil National de la Résistance) en 1943.
Good Bye :)
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